Je suis déjà bien avancé dans ma lecture et je dois dire que j'ai bien aimé l'ensemble du dossier rétrospectif 2012. Je constate qu'il y a moins de chroniques de jeu ce qui n'est pas forcément un mal. Sinon, rien à dire de négatif, que du contraire. Continuez comme ça.

Yeah !

Infos fraiches sur des chiffres, tirées du forum TT :

"Le jeu Dobble a doublé son score en 2012
Les Echos n° 21374 du 12 Février 2013 • page 27
Le concepteur et fabricant de jeux de société Asmodée de Guyancourt (Yvelines) a vendu l'an dernier 450.000 boîtes de la gamme de ses jeux d'observation Dobble, soit plus du double des quelque 200.000 pièces écoulées en 2011. Vendu jusqu'à maintenant uniquement en magasins spécialisés, Dobble devrait faire son entrée en grandes surfaces à Noël prochain. Le même éditeur a placé dans le même temps 420.000 boîtes de Time's Up et 300.000 de Jungle Speed."



"Asmodee Group veut prendre les Chinois à ses jeux de société
Les Echos n° 21323 du 29 Novembre 2012 • page 26
Il n'y a pas que les écrans dans la vie. L'éditeur et distributeur français de jeux de société et de cartes à collectionner Asmodee Group enregistre 100 millions d'euros de chiffre d'affaires avec 170 salariés dans le monde, dont 70 en France. « Nous éditons environ 20 jeux par an, ce qui fait de nous l'un des éditeurs indépendants les plus actifs sur le marché, explique Stéphane Carville, directeur général. Notre jeu Jungle Speed se vend en France à 350.000 exemplaires par an, plus de 3 millions depuis son lancement, soit un volume comparable à ceux du Monopoly ou du Scrabble ». Time's Up ou les différentes déclinaisons de Dobble suivent la même voie. « Nous sommes aussi distributeurs des jeux de près de 25 éditeurs français et étrangers avec lesquels nous avons des relations extrêmement proches », poursuit le dirigeant.
L'entreprise de Guyancourt (Yvelines) étend en permanence son catalogue pour trouver les best-sellers de demain et, parallèlement, s'emploie à gagner des parts de marché dans les réseaux de diffusion. Ses efforts sont dirigés tant vers la distribution spécialisée que vers les réseaux alimentaires.
Impact international
L'international, qui représente plus de la moitié du chiffre d'affaires, contre un quart il y a cinq ans, constitue le deuxième axe de développement du groupe. « Depuis 2007, nous avons acheté trois sociétés, en Belgique, d'où nous couvrons le marché néerlandais, en Allemagne et en Espagne, puis nous avons créé une filiale aux Etats-Unis. En 2010, pour renforcer notre impact international et anglo-saxon nous avons pris la majorité du leader indépendant de la distribution de jeux en Angleterre, continue Stéphane Carville. C'était un message fort à l'ensemble des milieux du jeu et notamment des structures anglo-saxonnes à la recherche de distributeurs sur le continent européen. »
Dernière étape il y a quelques jours avec l'ouverture d'un bureau en Chine, à Shanghai. « C'est le troisième marché du jouet au monde, mais la part du jeu y est encore faible et il y a une demande de jeux de société, souligne le dirigeant. C'est aussi une bonne façon d'accompagner les autres éditeurs, avec lesquels nous travaillons, pour leur développement en Asie. »
Pour la firme, il ne s'agit pas de saisir une opportunité mais de stratégie à long terme. « Nous voulons, y investir, prendre notre temps, comprendre le marché et faire découvrir nos jeux aux Chinois», conclut le dirigeant."