Plato 59
Septembre 2013

7,50 TTC

Goodies : 4 cartes spéciales pour Rome & Carthage

Distribution
France : Asmodee
Belgique : Geronimo
Reste du monde : Megalopole

Rupture de stock

Description

Description

  • Tutti frutti Un peu de tout, mais ludique

    Les jeux, c’est du sérieux : Une épreuve à surmonter ;
    Platô, le philosophe du jeu : Tous ensemble, tous !! ;
    Compte-rendu : Soirée Mascarade, Inauguration de l’R de jeu, Paris Est Ludique ;
    Billet d’humeur : Et le maximalisme ? ;
    Plein les mirettes : Hop la bille ;
    Application : Score Maniac ;
    Bouquinerie : Émile et Knack au restaurant & Perdu dans la ville ;
    Plein les mirettes : Lancement de Color warz : dark threat ;
    Agenda : Championnat des Bâtisseurs – Moyen-Âge ;
    Bizarrerie : Funkey Hôtel à Bruxelles ;
    News JDR : Wastburg, Fading suns 3e édition, Hollow earth expedition, Conventions : Les aventuriers de la Cité Ardente & Octogônes.
  • Jeu Robinson Crusoé, aventures sur l’île maudite Filosofia

    Quelqu’un a une idée ?
    «Il y avait eu la tempête, les bousculades et le bateau qui sombrait. La suite, je ne m’en souviens guère. Mes souvenirs sont encore embrumés au moment où j’ouvre les yeux, découvrant une plage déserte et, à l’horizon, quelques nuages sombres. Je fouille mes vêtements. Je n’y trouve qu’un petit paquet de biscuits dans une poche. Autour de moi, je vois se relever un, puis deux, puis trois compagnons. Au moins nous sommes quatre dans cette épreuve. Quatre et un paquet de biscuits. »
  • Bonus Scénario pour Robinson Crusoé : L’île redoutable de King Kong

    Offert par Filosofia et Plato magazine
    Vous êtes en compagnie d’une équipe de cinéastes d’Hollywood qui souhaite tourner un film sur un gorille géant vivant sur cette île inexplorée.
  • Rencontre Ignacy Trzewiczek

    Raconter de bonnes histoires
    Dans ce qu’on pourrait désigner, faute de mieux, comme la scène des pays de l’Est, Vlaada Chvátil et Czech Games Edition font figure d’arbre qui cache la forêt. À leur côté, dans ce marché naissant, d’autres créateurs talentueux ont émergé ces dernières années, qu’ils soient illustrateurs comme Mariusz Gandzel (Québec) et Jarek Noco (1812, l’invasion du Canada) ou auteurs et éditeurs comme Michał Oracz et Ignacy Trzewiczek. Ce dernier n’est d’ailleurs pas un agneau de lait, puisqu’il opère depuis une dizaine d’années maintenant. Au sein de Portal Games, il a donné le jour, en tant qu’auteur et éditeur, à quelques projets très originaux, mais assez spécialisés, comme Neuroshima hex, Stronghold, et 51e état. Robinson, probablement un des jeux qui ont le plus marqué Essen 2012, et qui, depuis sa sélection par Filosofia / Z-Man, est devenu l’une des sorties très attendues de l’année, va sans doute lui ouvrir les portes d’un plus large public. Qui aura alors tout loisir de découvrir l’originalité de cet auteur, en particulier la manière dont il considère et travaille les thèmes de ses jeux.
  • En couverture Un auteur 1.5 ?

    Ou comment Ignacy Trzewiczek en est venu à faire plus simple
    «La question n’était pas de savoir si j’avais fait des erreurs ou pas. La question était : quelles erreurs avais-je commises ? » C’est en substance ce que l’auteur de Robinson écrivait, il y a quelques années, dans un « designer diary ». Et en effet, pendant longtemps, sa carrière fut marquée par une production ambitieuse, séduisante, mais parfois entachée malheureusement de problèmes de réglages. Avec pour conséquence, souvent, une rencontre ratée avec le public, et la sensation d’un gâchis important.
  • Jeu Tokaido Funforge

    Là où l’aventure est la plus tranquille
    Japon. XVIIe siècle. Décidant de partir réaliser maintes affaires dans le Kanto, région japonaise où se trouve Edo (l’ancien nom de Tokyo), nous nous sommes curieusement mis en route en même temps. Les nombreux points d’arrêt présents sur le chemin nous permettront de nous sustenter, de rencontrer moult personnes surprenantes, de nous reposer, bien sûr, et puis, à cause d’un départ un peu hâtif, de ramener quelques souvenirs, prouvant en toute simplicité que nous sommes des gens de bonne éducation. Par contre, il semblerait que nous soyons vraiment nombreux à prendre la route. Il va falloir aller un peu plus vite que prévu, mais loin de moi l’idée de bâcler ce parcours…
  • Jeu Card city Ludibay

    Sous les ZUP de mairie
    Alors que Town center, l’étape suivante du projet d’Alban Viard, fait déjà parler de lui et s’avère même jouable en ligne, peut-être seraitil temps de donner quelque place en ces pages à la version cartes de ce jeu inspiré de l’univers de Sim City : Card City.
  • Jeu Rome & Carthage Grosso Modo

    Risk en Méditerranée
    Entre 264 et 146 av. J.-C., Rome et Carthage se sont affrontées en vue d’obtenir, principalement, un certain monopole économique sur les îles de Sicile et de Sardaigne. Revivez, dans ce jeu, la folle épopée de cette période, qui vit la gloire de Carthage dans les deux premières Guerres puniques ou sa destruction finale, en 146 av. J.-C., après un ultime combat et un siège de trois longues années.
  • Jeu Asgard What’s Your Game? & Iello

    Are you ready to Ragnarök ?
    Le combat final approche. Les dieux d’Asgard vont s’affronter pour que triomphe le bien ou le mal. Il est temps de choisir votre camp : celui du vainqueur.
  • Jeu Augustus Hurrican

    Au goût de tous
    Paolo Mori nous avait confié, dans Plato n°49, à propos de Libertalia, qu’il était « né, comme beaucoup de [s]es créations, en pratiquant d’autres jeux ». Est-ce donc au détour d’un loto qu’il a eu la curieuse idée d’en tirer un nouveau jeu ? Allons, un peu de sérieux, monsieur Mori : après des oeuvres comme Ur, Vasco da Gama ou Libertalia, que pensiez-vous extraire d’un banal loto ?
  • Jeu Gangs city Diptic

    Du plomb sur la ville
    Premier volet du diptyque proposé par le jeune éditeur… Diptic, Gangs City nous entraîne dans un concentré fictionnel de toutes ces villes américaines où les bandes urbaines s’entre-déchirent pour en contrôler les trafics prohibés. Oui, Gangs City est une cité où il fait bon vivre. À condition d’être armurier ou représentant en pompes funèbres.
  • Jeu Police city Diptic

    De l’autre côté du miroir
    Si Gangs City se penchait sans concession sur la violence des bandes organisées, on aurait pu s’attendre ici à une apologie des forces de l’ordre confrontées à ce phénomène. Il n’en est rien ! Appuyant résolument où ça fait mal, Police City insiste sur les dysfonctionnements, les luttes d’influence et la corruption gangrenant la police. Noir, c’est noir…
  • Rencontre Diptic

    Un nouvel éditeur dans le tableau
    Cette année 2013 aura encore vu l’émergence de nombreuses entreprises d’édition. Parmi celles-ci, Diptic, basé à Villeurbanne, a fait pour son lancement le pari osé d’un concept original et ambitieux. Rencontre avec les six acteurs de ce projet atypique.
  • Jeu Voldétour Arborel

    Faites le mur
    Si la géométrie et la maçonnerie vous attirent, si les structures tridimensionnelles ne vous intimident pas, n’hésitez pas à faire un crochet par ce jeu.
  • Jeu MIL Iello

    An de grâce 1049
    Dans MIL, chaque joueur va tenter d’obtenir prestige et influence pour sa famille.
  • Jeu Cavemen playing with fire Odynaut

    La guerre des feux
    Les deux joueurs disposent d’un paquet de cartes identique comprenant des cavernes, trois feux, des hommes préhistoriques et un dinosaure.
  • Jeu Mille sabords ! Amigo & Gigamic

    Trésors en vrac
    Le jeu utilise des cartes et des dés, dont les faces classiques numérotées ont laissé place à divers symboles colorés du plus bel effet.
  • Extension Alcatraz the scapegoat : maximum security Kuznia Gier

    La boîte à outils
    Alcatraz the scapegoat : maximum security est une extension pour Alcatraz the scapegoat, jeu semicoopératif basé sur la réalisation commune d’objectifs et l’exclusion finale d’un seul joueur.
  • Jeu Würfel Wurst Kosmos

    Comme un Yahtzee des animaux, mais en mieux
    A la base de Würfel Wurst, il y a sans doute en partie une idée commerciale : éditer un jeu de dés dans une boîte qui aurait une forme cubique, c’est-à-dire de dé.
  • Enfants Cap sur Habanabi Haba

    Stop ou encore
    La carte d’un archipel regorgeant de trésors, un joli avion de bois, une série de curieux dés parallélépipédiques : voici un matériel bien alléchant.
  • Enfants Les écureuils jardiniers Haba

    Une fleur éclot
    Takenoko semble avoir fait des émules, puisque après les pandas, ce sont chez Haba des écureuils qui vont s’amuser dans un jardin.
  • Enfants La fête des ombres Haba

    Danse avec les l(o)utins
    Ce qui est étonnant chez Haba, c’est leur capacité à dénicher encore et toujours des mécanismes ludiques originaux et parfaitement adaptés aux plus jeunes d’entre nous. Ce nouveau jeu s’inscrit dans cette tradition en nous invitant à contempler un bien mystérieux ballet d’ombres.
  • Rencontre Bruno Cathala

    Entre ombre et lumière
    Sept ans que le jeu du chat et de la souris dans Mr Jack fait vibrer la communauté ludique, et le jeu n’a pas pris une ride. Au départ, rien ne prédisait le succès de ce micro-tirage de quelques centaines de pièces, jusqu’alors connu sous le nom d’Une ombre sur Whitechapel, en 2005. Le jeu se mue, peu de temps après, en Mr Jack, sans grand changement, tant l’équilibrage se trouvait déjà qualitatif à l’origine. Le succès de ce titre, voire de cette saga, tourne naturellement autour d’une thématique forte et de choix mécaniques particulièrement cohérents qui en font toujours une grosse référence pour qui cherche un jeu idéal pour deux joueurs.
  • Retour sur La saga Mr Jack

    Londres, 1888 – Retour sur la traque de Whitechapel
    Datant de 2006, le premier Mr Jack (chroniqué dans Plato Magazine n°11, ça ne nous rajeunit pas), de Bruno Cathala et Ludovic Maublanc, a été un succès rutilant. Il fait d’ailleurs toujours partie des valeurs sûres, aujourd’hui. Pour rappel, le jeu proposait la traque du fameux Jack l’Éventreur. Assassin qui pouvait se cacher sous l’apparence de n’importe lequel des personnages fréquentant Whitechapel.
  • Jeu Mr Jack pocket Hurrican

    Où es-tu, mon p’tit Jack ?
    Pour sa version portative, Mr Jack s’embellit d’un nouveau visuel, plus mûr et plus fin.
  • Jeux de cartes Ghooost! et son époque

    Histoires de fantômes
    En mars dernier, lors du salon de Cannes où Ghooost ! faisait sa première sortie publique, on pouvait voir les familles, venues en nombre, se presser autour de ces jeux de cartes à l’apparence familière : Le roi des nains, cru 2012, et Ghooost !, cru 2013. Le moment semblait donc vraiment bien choisi pour sortir un jeu de ce type. Dans le même temps, sur Internet, les règles et les cartes, révélées peu avant, soulevaient nombre de commentaires négatifs ou simplement dubitatifs. Est-ce uniquement l’inconvénient d’être second ?
  • Rencontre Anne-Sophie Hochet

    L’auberge des VoyaJoueurs
    Il était une fois, dans la forêt de Brocéliande, rue du Chaperon rouge, une auberge… l’auberge des VoyaJoueurs, un lieu où l’on peut boire, manger, dormir et… jouer ! Depuis quatre ans, petits et grands, en famille, entre amis ou en groupe, peuvent aller pousser des pions dans ce lieu insolite.
  • Sortie de table Le bunnock

    Y a comme un os !
    Après les amateurs de pin scandinave (voir Plato n°58), arrêtons-nous quelques lignes sur un autre jeu d’extérieur, d’origine slave, mais si typiquement canadien, fabriqué à l’origine dans des phalanges de chevaux : le Bunnock™. Promis, au prochain numéro, Plato ne manquera pas d’écrire un sujet sur les inconditionnels du pied de porc pané !
  • Rencontre Greg Gartner, associé de l’International Bunnock Associates (IBO)

    Le bunnock, une passion familiale
    La capitale du Bunnock™ se situe à Macklin, petite ville canadienne centenaire, fondée en 1912 par quelques colons, dont des immigrants allemands qui n’avaient pas omis d’emporter dans leurs valises leur jeu fétiche. Greg Gartner est le fils de Joseph H. Gartner, celui qui fut le premier à commercialiser ce jeu et à le faire connaître bien au-delà des frontières du Saskatchewan, voire du Canada.
  • Rencontre Steve Kendall, des Ragnar Brothers

    La confrérie
    Si, aujourd’hui, les stars les plus en vue se nomment Stefan Feld ou Antoine Bauza, les Anglais Alex Randolph (Intrigue à Venise), Francis Tresham (Civilization, 1830), ou encore Sid Saxon (Acquire) ont durablement imprimé leur marque. Appartenant à la génération suivante, les Ragnar Brothers, auteurs et auto-éditeurs, sont de cette école. Un peu oubliés aujourd’hui, ils ont cependant une carrière marquante derrière eux, et encore suffisamment de crédit pour mener à bien un projet Kickstarter, le très prometteur Promised land : 1250-587 BC.
  • Au fond de l’armoire History of the world : un jeu-matrice

    Le monde ne suffit pas
    Au fil du temps, il est devenu commun de considérer les jeux de civilisation et de conquête comme des genres purement américains, par opposition à une conception « européenne » du jeu. C’est oublier un peu vite cependant qu’un des ouvrages fondateurs du genre, Civilisation (1980), est l’oeuvre d’un Britannique, Francis Tresham. Par la suite, d’autres auteurs européens (Wallace avec Naissance et apogée des empires et Struggle of the empires ; Chvátil avec Through the ages ; Gerdts avec Imperial) ont considérablement fait avancer le propos. D’une génération intermédiaire, History of the world des Ragnar Brothers, sorti une décennie après Civilisation, venait également d’Angleterre.
  • Carnet d’auteur L’Aéropostale

    Journal de voyage d’un créateur, 4e escale
    L’Aéropostale est au pied de la cordillère des Andes. Quelques années de labeur et de remises en question ont permis aux co-créateurs de mettre le jeu sur la bonne voie : un mélange de gestion et de prise de risque, afin de représenter au mieux l’aventure des premières lignes. Pour autant, celui-ci n’est pas encore prêt à franchir son dernier obstacle. Devenir un véritable jeu, c’est comme passer un des plus hauts sommets : il faut sentir le vent porteur, et régler sa machine avec une grande précision.
  • Analyse La gamisation

    Jouer pour les autres
    La « gamisation » ou « gamification » fait partie de ces thèmes récents qui font l’actualité. Bien souvent associée aux jeux vidéo, cette pratique ludique plonge ses racines au coeur de notre société de consommation. On la retrouve sous de multiples visages et de nombreuses utilisations. Que couvre cette mise en jeu ? Quels buts sert-elle ? Comment s’exprime-t-elle avec le jeu de société traditionnel ? Venez découvrir le business ludique sans passer par un jeu-concours et pénétrez dans un monde qui s’habille avec des jeux.
  • Rencontre Thierry Saeys nous parle de Fun Quest

    Jouer en travaillant
    Funquest est une société montée par Thierry Saeys, propriétaire de la boutique bruxelloise Sajou, spécialisée dans la vente de jouets et jeux de société. Fun Quest propose ses services pour animer des activités ludiques, notamment en entreprises. Thierry nous explique comment il a su développer sa passion dans une voie atypique.

Information additionnelle

Informations complémentaires

Goodie : 4 cartes pour Rome & Carthage

Jouez ces cartes spéciales avec la règle avancée Conquête rapide, incluse dans le livret de règles. Merci à Grosso Modo !

Goodie : Scénario pour Robinson Crusoé

Scénario L'île redoutable de King Kong inclus dans les pages du magazine.

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